Depuis décembre 2022, l’AST, Service de Santé et de Prévention au Travail des Hauts-de-France, utilise padoa pour suivre les 230 000 salariés de ses 16 700 adhérents. Fanny Rohart, cheffe de projet, partage son expérience sur l’évolution des fiches de fin de visite suite au décret du 3 mars 2025.
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Le décret du 3 mars 2025 sur les fiches de fin de visite, d’abord annoncé pour octobre puis finalement repoussé au 1er juillet 2025, a suscité beaucoup de questions. Comment garantir la conformité tout en assurant la simplicité d’utilisation ? Comment intégrer un processus de signature supplémentaire sans alourdir les visites médicales ? |
Nous avions encore beaucoup d’interrogations : comment cela allait être mis en place chez nous, si l’outil serait simple d’utilisation et comment cela se passerait sur le terrain. Il y avait forcément des craintes, parfois même de la colère chez les professionnels, car le décret nous paraissait absurde. |
Nos attentes : avoir un module très simple d'utilisation, rapide et conforme à ce décret. On voulait rassurer les équipes : pas question de perdre du temps ou de compliquer le quotidien médical.
Les SPST attendaient des solutions concrètes. Le sujet a été pris en main très tôt par les équipes padoa et partagé lors du Club padoa, ce qui a permis de donner de la visibilité aux directions et aux équipes de terrain.
En parallèle, l’AST a choisi de s’organiser en amont : dès mars 2025, Fanny Rohart a consulté les maquettes et a pu jouer un rôle de pilote pour adapter la communication interne et préparer les processus à venir. Cette double démarche de l’éditeur et du service a permis d’assurer la transition.
Des supports ont été fournis par padoa pour accompagner cette évolution :
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On a retravaillé vos supports pour les adapter à notre service. Ça nous a fait gagner un temps précieux. |
L’AST a ensuite travaillé ces outils pour les adapter à l’organisation spécifique de son service.
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L’idée, c’était que personne à l’AST ne se retrouve seul face à un problème. Dès qu’une question arrivait, on y répondait tout de suite. |
Le support padoa et le chef de projet dédié ont joué un rôle déterminant : disponibilité, réactivité et capacité à adapter les réponses aux besoins spécifiques de l’AST. Quelques ajustements ont été nécessaires, mais ils ont été corrigés rapidement et toujours accompagnés d’une communication claire sur les évolutions.
Le support padoa a été réactif et efficace, et les ajustements se sont faits rapidement.
Grâce à la communication de padoa et aux messages que nous avons adaptés sur le terrain, nous avons pu franchir cette étape sereinement. L’arrêté a certes généré des contraintes et des incompréhensions, mais l’accompagnement et la solution proposés par padoa nous ont permis d’y répondre efficacement. |
Aujourd’hui, plus de 90 % des salariés signent leurs fiches par SMS. |
Du côté des équipes médicales, la mise en œuvre s’est faite de manière fluide sans perturber l’organisation des visites. L’objectif a été atteint.
Le modèle réglementaire reste exigeant et génère encore des interrogations, notamment du côté des adhérents. L’AST a donc mis en place une FAQ interne et des éléments de langage pour aider ses équipes à répondre aux questions récurrentes.
Malgré un texte complexe et exigeant, l’AST a su transformer l’obligation réglementaire en une mise en œuvre opérationnelle réussie. |
Le fait que padoa anticipe les évolutions réglementaires, c’est essentiel : on gagne du temps et on rassure nos équipes comme nos adhérents. |
Cette réussite repose sur :
Un retour d’expérience qui illustre la force de la collaboration entre un Service de Prévention et de Santé au Travail engagé et un éditeur capable d’anticiper, d’accompagner et d’ajuster en temps réel.